Après avoir passé quelques années dans l’enseignement primaire, c’est un autre chemin que j’ai créé.
Un chemin où j’ai retrouvé beaucoup de similitudes avec ma vocation de départ : de la créativité, de l’audace, de la spontanéité, de la liberté, de l’écoute, des échanges, du partage, cette soif d’apprendre.
J’ai transposé cette envie de créer, partager, transmettre dans un univers autre que ma classe. C’est ainsi que j’ai pensé et créé « Le cocon d’Erell ». Une boutique à mon image…
Un espace bienveillant où il m’importe que toutes les femmes puissent se sentir bien en se trouvant une pièce qui leur donnera un petit sourire pour la journée.
J’ai souhaité créer un univers bien au-delà de la vente. Un univers qui parle aux femmes, un univers qui soit proche d’elles et de ce qu’elles ressentent ou vivent. Un univers où chaque femme puisse se retrouver selon ses goûts, sa féminité et son corps.
Je souhaitais que chaque venue à la boutique soit un joli moment… Du partage, de l’écoute, de la bienveillance, du rire, de la féminité.
J’adore être surprise par les pièces qui sont créées. Cela souligne tout un travail autour de la femme et de son corps.
Je prends le soin de sélectionner minutieusement chaque saison des pièces qui séduiront telle ou telle cliente. Des basiques indispensables aux pièces plus travaillées. De la douceur avec des imprimés qui me parlent et qui éveillent ou suscitent en moi des émotions.
Pour chaque pièce, je visualise une attitude, une femme, un trait de caractère. J’ai créé un univers qui me ressemble alliant douceur, sobriété, intimité et chaleur humaine.
Chaque petit détail a son importance et véhicule en moi une histoire, une émotion que je retrouve à travers chaque pièce que je sélectionne.
L’envie de vous transmettre également cette émotion par le biais de ce cocon ou de ma rencontre…
Si jamais vous n’avez pas la possibilité de passer découvrir cette boutique, j’ai souhaité retranscrire son univers par le biais de cet e-shop.
Un peu de folie, un peu de douceur, me voilà démasquée !
Au plaisir,
Anne-Laure